La nouvelle de NeverLand. ( ft Wendy )

Je dansais sur la balançoire depuis pas mal de temps.
M'accordant à fredonner encore une fois.
J'étais seule, j'avais chaud.
Pan était heureux ce soir.

Je me balance inlassablement.
Lorsque j'aperçois une silhouette inconnu.
C'était elle, je le savais.
Je la devinais déjà.
Celle qui était arrivée chez les garçons perdus il y a que trop peu de temps.

Elle s'approche, hésitante.
Je suis presque sure qu'elle ne sait pas où elle est tomber.
Et elle doit s'imaginer que sa vie sera belle ici.

Je me propulse du jouet d'enfant, et retombe avec grace sur mes pieds non loin d'elle.

J'incline ma tête.
Son regard est curieux.

_Bonsoir.

Oui, elle doit penser que sa vie sera belle ici.
Redescends sur terre, jolie Wendy.

Non, je n'étais pas perdue... Un exploit en soi même.
Je savais où j'étais, pour une fois. Mais NeverLand ne me semblait pas plus sûr pour autant, loin de là.
J'étais comme un agneau perdue, se cachant du grand méchant loup, ou, dans ce cas précis, des loups, car les dangers semblaient bien plus nombreux que je ne le pensais.
C'est dans ces moments que je me rends compte que ma vie -mon ancienne vie- n'était pas une vie. Prisonnière de ma prison dorée, j'ignorai tout de la vraie vie, coincée entre quartes murs.
J'ignorai tout de la liberté, et de ses dangers.
Mais la liberté a du bon.
Un léger grincement rompait le silence, provenant d'une balançoire non loin de moi. Une jeune femme se balançait négligemment sur le jouet pour enfant, son regard rivé sur moi.
Hésitante, je m'avança vers elle.
Me voyant arrivé, elle bondit avec élégance de la balançoire, se retrouvant tout près de moi.
Elle inclina la tête, me jaugeant toujours du regard.
Les traits de son beaux visages reflétaient une sorte de souffrance blasée que je ne connaissais que trop bien: Cette souffrance que je ressentais, avant. Avant d'être ici, avant d'être libre.
De quoi était elle prisonnière?

_ Bonsoir.

L'écho de sa voix résonna dans le parc. Devrais je avoir peur?
Non, je ne pense pas qu'elle me veuille de mal...

_ Bonsoir, murmurai je, gênée.

La sociabilité n'était pas mon fort, et j'avais jamais su comment me comporter avec les autres.
Je ne savais jamais quoi dire, quoi faire.
Nous restâmes plusieurs minutes ainsi, a se fixer en silence. J'aurai voulu lui parler, essayer de la comprendre, satisfaire ma curiosité.
Mais ma faible expérience en matière de relations humaines n'indiquait tout de même que mes questions auraient été déplacés... Et probablement sans réponses.

Elle réponds à mon Bonsoir, et le sien résonne encore plus fort que le mien, sa voix cristalline envouterais presque l'air, je l'envie déjà.
Elle était aussi jolie que ce que j'avais entendu dire.

Je continue son inspection de mon regard.
Elle était heureuse.
Heureuse d'être ici ?

Malgré le fait que j'étais surement plus intelligente que la moyenne, je ne comprendrais jamais leur bonheur.

Elle était libre.
J'étais prisonnière.
Point.

Elle me regarde aussi, contrairement à moi, elle ne me comprends pas.
C'était bête je m'amusais déjà.

Je remet ma tête droite, j'avais finit d'étudier son physique, pour l'instant.

_On se promène seule le soir ?
C'est dangereux, tu sais...

Je la fixe intensément.

_Wendy.

Elle semble étonnée que je connaisse son prénom.
Je suis pratiquement, toujours au courant de tout.

La lueur de curiosité qui animait son regard tandis ce qu'elle me détaillait s'estompa, et elle inclina la tête sur le côté, comme une enfant qui se réjouissait d'une nouveauté qui s'offrait a elle.

_On se promène seule le soir ?
C'est dangereux, tu sais...

Son regard capta le mien avec une telle intensité que ma lèvre tressaillit.

_Wendy.

La fin de sa phrase me fit hausser un sourcil. Comment me connaissait elle? Je ne savais pourtant rien d'elle.
L'idée qu'une inconnue me connaisse un temps soit peu me fit frissonner. Habituée a mon éternelle transparence, je ne pensais pas qu'un jour, mon existence soit connue par quiconque n'ayant pas de lien direct avec moi.

_ Comment connais tu mon nom? Lui demandai-je, incapable de cacher ma curiosité.

Évidement.
Je baissa les yeux, stupéfaite par ma propre stupidité. Les nouveaux arrivant devaient se faire rares ici -personne n'aurait put décemment abandonner sa vie pour venir ici de son plein gré, s'il avait un autre choix- et mon arrivée devait sans doute avoir provoqué bon nombres de commérages.
J'étais sûrement sujet a curiosité, moi qui avait plus que tout, souhaiter etre ici. Car je ne voulais etre nul part ailleurs qu'en cet endroit. Je voulais vivre, enfin.

_ Comment t'appelles tu?

Question que j'aurai probablement dut posé avant, il me semble. Tout du moins, les conversations normales semblaient se passaient ainsi. Hors a présent, rien ne semblait normal, tout du moins, rien ne ressemblait a la notion de normalité qui était mienne avant.

Ne savait elle pas ?
Que j'étais au courant de tout ici ?
Ne savait elle pas que j'étais la sirène crainte par beaucoup de monde ?
Evidemment qu'elle n'en savait rien... Elle était arrivé hier.
Et elle ne connaissait que Peter et ses vauriens.

Je me remet à l'étudier, mon jouet avait parlé. Et il en devenait d'autant plus simple à deviner.
Elle était intrigué, et heureuse, la jolie Wendy du Dieu Pan.

Je savais qu'elle attendait une réponse de ma part. Mais je me plaisais à l'observer. Pour la réponse elle attendrait un peu la Belle.
Après tout j'avais le controle.
Et Wendy, comme personne d'autre, ne me dirait quoi faire.

Je retourne m'assoir sur mon jouet d'enfant, et me balance inlassablement.
Wendy m'observe a son tours.
Et ne comprends rien à cette rencontre qu'elle venait de faire.
Je le savais, c'était inscrit dans ses yeux azurs.

_Ici les rumeurs vont vites.

J'affiche une mine satisfaite.

_Et elles viennent très souvent me chanter a l'oreille leur douce berceuses...

Ironique n'est ce pas ?
Pour une fille fuyant le sommeil.

_On m'appelle Bella.

Je l'invite a se rapprocher de moi avec un signe du doigt.

Et dans un murmure semblable a un chant qui représenté ce que j'étais, une sirène, je lui dis.

_C'est bizarre que les garçons te laissent sortir seule...

Oui, c'était vraiment bizarre.
Peut être qu'elle leur avait faussé compagnie finalement.
Moi, j'en aurais fais autant.

Malgrès le léger grincement de la balançoire, sa voix cristalline résonna jusqu'à moi.

_On m'appelle Bella., murmura t elle alors.

Bella... Un prénom qui semblait assez bien la définir. D'un mouvement de main, elle me fit signe de me rapprocher d'elle: Je m'exécutai, sans vraiment y penser.
Arrivée à sa hauteur, je m'assis sur une balançoire semblable a la sienne, à sa droite. Cependant, contrairement a elle, je ne me balançai pas, me contentant de la fixer.

_C'est bizarre que les garçons te laissent sortir seule...

Je sursautai, pourquoi les garçons ne me laisseraient ils pas sortir? Je n'étais en aucun cas prisonnière. Je n'étais plus prisonnière, rien ni personne ne me retenait captive a présent.
L'idée que j'étais peut etre suivie s'insinua en moi si soudainement que je me demandai alors pourquoi je n'y avait pas penser auparavant.
Je regardai autour de moi, mais ne vis personne.
J'étais stupide, pour l'un des enfant perdu me suivrait il, ils avaient probablement tous autre chose a faire.

_ Je ne vois pas ce qu'il y a de bizarre la dedans, je suis libre d'aller où je veux il me semble...

Aucun reproche dans ma voix, juste une affirmation. Du moins, une phrase que j'aurai voulu faire sonner comme une affirmation.
J'étais libre d'aller où je veux, je crois.

Je soupire.
Elle sent le bonheur a plein nez.
Je n'aime pas ça, non, non et non !

Je ne comprendrais jamais pourquoi les gens peuvent être heureux.
J'en viens à me demander si finalement je n'envie pas leur bonheur.

Je la regarde. Elle semble perturbé par ma question.
Aurais je éveillé les soupçons de Wendy sur le fait que les gamins l'ont surement suivit?
Je pense bien, je le lis en elle.

Je continu de me balancer, toujours plus haut, toujours plus fort.
Je ne dis rien.
Je ne réponds pas a sa réplique.
Je sais qu'elle m'observe, comme si j'étais dingue.
Je commence à rire. J'étais amusée de la situation.

Je m'arrête de me balancer et fixe Wendy.

_Si tu le dis, alors tu es libre.

Peut être bien d'un côté. Je ne savais plus depuis longtemps à quoi ressemblait la liberté, moi j'étais une des chiennes de Vita.

_Tu as peur de moi, Wendy ?

Je sais, cette question était surement bête pour celui qu'on interrogeait.
Mais moi j'avais besoin de savoir.
Même si elle ne me répondait pas la vérité, je voulais voir dans ses yeux les sentiments qu'il y avait au fond d'elle.

Le grincement de la balançoire s'arrêta, et toute l'attention de Bella ne semblait plus que dirigée vers moi.

_Si tu le dis, alors tu es libre.

Je frissonnai. Oui, j'étais libre. Elle, semblait loin de l'être.
NeverLand était une prison pour elle, une libération pour moi. Je ne pus m'empêcher de me sentir mal pour elle, elle qui semblait vivre enchaînée, comme je l'avais été.

_Tu as peur de moi, Wendy ?

Je haussa un sourcil, surprise par sa question soudaine. Avais je peur d'elle?
Oui, son omniscience m'impressionnait. Oui, son assurance me déstabilisait.
Oui, assurément, j'avais peur d'elle.

_ La question est plutôt de savoir si que tu souhaites que j'ai peur de toi?

Mon sang froid me surprit moi même. Cette audace m'était tout bonnement étrangère.

_ Devrais je avoir peur de toi? Murmurai-je alors.

Tout mon pseudo sang froid avait été mis en pièce a l'instant même où son regard accrocha le mien. Elle semblait concentrée, étudiant mes traits, mon regard.
Son visage restait totalement hermétique a toute émotion, puis, soudain, elle me lâcha des yeux et se balança a nouveau.

Je reprends mon balancement, et je ris alors aux éclats.
Mon rire fou résonne dans tout le parc.
Et les échos de la nuit me répondent. Wendy m'observe, je le sais, elle en a le droit en même temps tout était nouveau ici pour elle.
Un nouveau départ pour cette jolie fille sortie de sa prison dorée.
Une mort certaine pour une p*te comme moi enchainée a des fils plaqués or.

La situation m'amuse, encore une fois.
J'arrête de rire, et repense à ses questions.
J'arrête alors mon balancement.

_Ton courage m'impressionnerais presque...

Lui dis je en l'observant, elle avait peur de moi je le savais, une soudaine envie me passe dans l'esprit.
Un envie bizarre j'en conçois.
Mais la pauvre petite bête joyeuse qu'elle était me faisais presque pitié ?

_Je ne suis pas la pire ici, crois moi...

Une envie d'être gentille ?
Cette idée me donne la gerbe.

_Mais je suis une des pires surement...

Lui dis je presque en chantant.
Oh oui, à ce moment précis je m'amusais.
Je souffle.

La jolie Wendy me fixe longuement. Je vois dans son regard toute l'appréhension qu'elle a à chaque moment où je m'apprête à parler.

_Ne t'en fais pas Wendy, je ne te ferais aucun mal...

Enfin, je crois, il y a des fois où je blesse les gens sans le vouloir, je le sais.

Son rire s'élève dans tout le parc, tétanisant. Étais ce ma raison?
Si c'était la cas, elle signifiait sûrement que je devrais avoir peur. Elle me faisait peur. Son esprit semblait incontrôlable, changeant... Tout puissant.
Elle semblait capable de tout, et l'était certainement.
Son rire se meure, laissant place au silence, presque aussi effrayant en cet instant que son éclat de rire.
Arrêtant ces balancements, elle se tourna vers moi.

_Ton courage m'impressionnerais presque...

J'arrête de respirer: Elle éludait.
Encore une raison d'être terrifiée par elle.

_Je ne suis pas la pire ici, crois moi...

Je la crois volontiers. Elle connaît ce monde, pas moi. Elle s'apprête à parler a nouveau ,je retins mon souffle, attendant la phrase qui répondra à ma question.

_Mais je suis une des pires surement...

Sa voix se fit chantante, était elle fière de la crainte qu'elle m'inspirait? A moins que ce ne soit qu'un jeu pour elle, et qu'elle ne fasse rien d'autre que passer le temps.

_Ne t'en fais pas Wendy, je ne te ferais aucun mal...

La sentence tombe, libératrice. Pourtant je ne me sens pas mieux. L'idée qu'elle puisse changer d'avis a tout moment est à prendre en considération.
Poussant un long soupire malgrès moi, je fixai Bella, cherchant à la comprendre: C'était perdue d'avance.
Tout ce que mon esprit avait remarqué, était la peine qu'elle ressentait. Elle était malheureuse ici, ca ne faisait aucun doute.
Pourquoi ne partait elle pas alors?

_ Pourquoi ne t'enfuies tu pas? Demandai-je malgrès moi.

Mes yeux s'écarquillèrent au moment même où ces paroles eurent franchis le barrage de mes lèvres.

_ Je... Rien. Désolée.

Ca ne me regarde pas, je ne suis pas en droit de lui demander ca. Et ma curiosité se retrouve étouffée par la peur que m'inspire ses réactions.

Pourquoi ne pas partir ?
Sans le vouloir surement Wendy venait de provoquer une autre guerre à l'intérieur de moi.
Partir ? Pour aller où ? NeverLand quand on y réfléchis, c'est ça, toute ma vie.
Une vie se résumant à être un pute. A jamais et pour toujours.
Jusqu'au moment où, enfin, je mourrais. Et je déciderais du moment parfait pour faire cela.
Mais à présent que le jolie nouvelle princesse de ce pays venait de me le demander.
Je ne saurais que lui répondre. Partir pour mieux mourir. Partir pour survivre. Partir pour... Exister ?
Exister ? Quelle pensée futile de ma part, jamais je ne pourrais exister comme je le désire.
De toute façon, je ne voulais pas exister.

Wendy s'excuse alors de ce qu'elle vient de me demander.
Et moi je ne me pose qu'une seule question : Pourquoi ?
Pourquoi s'excuser alors qu'elle posait une question dès plus pertinente ?
Je secoue la tête, exaspérée qu'elle n'assume pas ce qu'elle disait.
La belle Wendy était donc moins vide que ce j'aurais pu penser. Malgré le fait que la peur émane d'elle.
Ses pensées ne sont pas si stupides que je l'aurais voulu.
Soit, je m'amuserais donc encore plus.
Je souris avant de reprendre la parole.

_Toi tu es libre ici, moi je ne suis prisonnière que de moi même.

Donc à quoi servirait de fuir ? Vu que c'est moi qui me retiens prisonnière.
M'empêcher de vivre ou de ressentir, je suis devenu hermétique toute seule.
Alors ici ou ailleurs, qu'importe, je ne serais jamais libre.

_Assume ce que tu demandes, jolie Wendy.

Sinon jamais, et surtout par moi, tu ne seras jamais respecter de personne.
Réponds moi d'abord, je m'amuserais encore plus lorsque tu m'auras dit quelque chose de... Hum...
Passionnant ? Peut être bien, je l'avoue la belle créature me passionne.

_Toi tu es libre ici, moi je ne suis prisonnière que de moi même.

Prisonnière d'elle même?
Tant de force émanait d'elle qu'il me semblait impossible qu'elle ai a se courber devant plus fort qu'elle. Elle était indomptable.
Mais si le combat était intérieur, il serait sans fin...

_Assume ce que tu demandes, jolie Wendy.

Je sursaute.
Assumer ce que je dis?
Je pense assumer ce que je dis, assumer ma curiosité.
Mais la politesse exige que je ne la questionne plus que la coutume l'exige. Je pense.
Je ne la connaissais pas, je n'étais pas en droit de lui poser de telles questions.
A moins que même les convenances ne s'appliquent ici.

_ Je ne voulais pas me mêler de ce qui ne me regardes pas.

Et je ne voulais pas qu'elle se braque, qu'elle fasse de moi un jouet sur lequel déverser sa rage.
Elle était pourtant si fascinante que les questions se bousculèrent dans ma tête. Au prise d'un combat intérieur, ou ma peur semblait écraser ma curiosité, je restai immobile devant elle, la fixant d'un air hébétée.
J'étais stupide. Inintéressante. Elle allait se lasser.
Et partir.

_ Je ne voulais pas me mêler de ce qui ne me regardes pas.

Sa réponse me plait.
Je l'avoue, mais ses airs de sainte, eux, m'énervent au plus haut point.
Assumes idiote, je ne vais pas te bouffer.
Enfin pas encore. Crois moi, pour le moment je n'ai pas faim.
Après Holly, et Chelsea, j'ais assez mangé ce soir.
Toi, tu n'es qu'une distraction.
M'empêchant de m'ennuyer dans un parc sinistre.

Je la regarde, observe ses traits.
Pourquoi as l'air tu triste ?
Ton manques de confiance en toi m'exaspère. Futile, il ne sert à rien.
Tu es celle qu'il a choisit, idiote, complais toi dans la vie que tu as.
Tu devrais avoir confiance, ce n'est pas rien, que le Pan t'accepte chez lui. Le con.

Ou peut être bien que cette expression met spécialement réservée ?
Parfait, alors, même si je ne comprends pas pourquoi.
Mon assurance n'est que façade, ma beauté n'est qu'illusoire, je suis prisonnière d'un corps que je ne désire pas.
Je pensais, bêtement, que Wendy aurait pu le comprendre, mon intelligence n'est pas sans faille, alors.
Bien, encore une preuve que je suis belle et bien humaine. Ironie de la vie.

_Je t'ai adressé la parole, je suppose que cela prouve que tu ne m'ennuie pas, non ?

Évidemment que la douce ne m'ennuie pas.
Au contraire elle m'amuse.
Ma jolie poupée de chiffon.
Je souhaite tellement comprendre pourquoi il t'a ramené ici.
Alors que dans les rues, on dit que ta vie d'avant était parfaite.
Comment choisir Neverland quand sa vie est faite de d'or et d'argent ?

_Alors toute questions que tu poseras, te regarderons, je continue de la fixer, et auront un intérêt puisque tu la poses, non ?

Pourquoi, elle seule avait le droit de vivre chez les Garçons Perdus, qu'est ce que Pan avait vu en elle ?
Que je prouve que toutes ses pensées étaient veines.
Que j'arrive a prouver que Wendy n'est rien.

Qu'elle aurait dû rester chez elle, plutôt que de venir ici.
Neverland : Ce monde où tout le monde se croit heureux.
Pourquoi ne suis je pas comment eux ?

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